Partito Democratico Italiano di Unità Monarchica
L'impossible redressement
Pourtant, malgré l’unité retrouvée, rien n’y fait... Les élections locale sont un grave échec sauf à Naples ou avec près d’un tiers des suffrages, le sénateur Achille Lauro parvient à conserver la mairie...
Lors des élections générales de 1963, le Partito Democratico Italiano di Unità Monarchica ne recueille que 536.991 voix (1,75%) et 8 députés, et 429.339 voix au sénat (1,56%) et 2 sénateurs seulement...
Les élections de 1968 marquent un nouveau tassement avec 414.423 voix (1,3%) et 6 députés à la chambre, 308.916 voix (1,08%) et deux sièges au sénat...
La dissolution du PDIUM
Après les élections provinciales et locales de 1971 qui ont vu le PDIUM perdre la quasi totalité de ses conseillers locaux (même à Naples, le score n’est plus “que” de 9,2%...), le Conseil national du PDIUM décide de fusionner avec le MSI sous le nouvel intitulé de Movimento Sociale Italiano - Destra Nazionale (MSI-DN – Mouvement Sociel Italien-Droite Nationale).
Ce fut chose faite le 10 juillet 1972.
Près d’un quart du Conseil national du PDIUM refusa cependant cette fusion et constitua l’Alleanza Monarchica (AM – Alliance Monarchiste).
Bibliographie
- François Duprat, Texte italiqueL'Ascension du MSI, Ed. Les Sept Couleurs, 1972.
Lien externe
- [1] : Blog sur le PDIUM (It.)