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Très jeune il adhère à l’[[Action française]] à ce moment dirigé dans le Loiret par le vicomte Patrice O’Mahony.
Très jeune il adhère à l’[[Action française]] à ce moment dirigé dans le Loiret par le vicomte Patrice O’Mahony.
Il écrit dans ''L'Étudiant français'' (organe des étudiants d'Action française) en 1935.


Après la guerre il participe à l’encadrement de très nombreux Camps Maxime Real del Sarte. École de formation des étudiants d’AF qui avait lieu pendant quinze jours dans l’été.   
Après la guerre il participe à l’encadrement de très nombreux Camps Maxime Real del Sarte. École de formation des étudiants d’AF qui avait lieu pendant quinze jours dans l’été.   
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=== Liens externes ===
=== Liens externes ===
*[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5595061x/f6.item.r=%22Yves%20lemaignen%22.zoom « Jacques Bainville, conteur »] article paru dans L’Étudiant français du 25 novembre 1935
*[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5595061x/f2.item.r=%22Yves%20lemaignen%22.zoom « Jacques Bainville, conteur »] article paru dans ''L’Étudiant français'' du 25 novembre 1935


*[http://archivesroyalistes.org/IMG/pdf/Royaliste680.pdf « Yves Lemaignen »], article paru  dans ''[[Royaliste (périodique)|Royaliste]]'' page 3, 10 février 1997.
*[http://archivesroyalistes.org/IMG/pdf/Royaliste680.pdf « Yves Lemaignen »], article paru  dans ''[[Royaliste (périodique)|Royaliste]]'' page 3, 10 février 1997.

Version du 25 juillet 2016 à 10:06

Yves Lemaignen (1915-1997), avocat, militant royaliste, membre des Comités directeurs de l’Action française. A participé à la scission qui a donné naissance à la Nouvelle Action royaliste.

1975 – Yves Lemaignen


Biographie

Yves Lemaignen est né 19 août 1915 à Orléans. Il fait ses études à Orléans et participe à la rédaction de “La Trirème” revue littéraire. Il obtient son bac en juillet 1933. Il poursuit des études de droit et prête le serment d’avocat le 22 juillet 1936. Il devient collaborateur de son père avant de fonder son propre cabinet.

Il participe à la Guerre 39-40 dont il sort lieutenant décoré de la Croix de Guerre.

Il se mariera en 1944 avec Nicole Macé de Gastines dont il aura cinq enfants.

Il sera l’avocat d’Alain Bougrenet de la Tocnaye au procès de l’attentat du Petit Clamart.

En dehors de son métier d’avocat - dont il deviendra bâtonnier en septembre 1963 pour deux ans - il est membre de la Société d'agriculture, sciences, belles-lettres et arts d'Orléans.

Décédé à Orléans le 21 janvier 1997 dans sa 82ème année. Il sera inhumé à Poilly-Lez-Gien (Loiret).


Parcours politique

Très jeune il adhère à l’Action française à ce moment dirigé dans le Loiret par le vicomte Patrice O’Mahony.

Il écrit dans L'Étudiant français (organe des étudiants d'Action française) en 1935.

Après la guerre il participe à l’encadrement de très nombreux Camps Maxime Real del Sarte. École de formation des étudiants d’AF qui avait lieu pendant quinze jours dans l’été.

Il devient un conférencier attitré de la Restauration nationale.

Il devient membre des Comités directeurs de l’Action Française jusqu’en 1971. A cette date, avec trois autres membres du Comité directeur il fait scission de l’AF pour fonder la Nouvelle Action française.

Membre du Comité directeur de la Nouvelle Action française (1971 - juillet 1973)

Président du Comité directeur de la Nouvelle Action française (juillet 1973 - 23 juin 1985)

Président d’honneur de la Nouvelle Action royaliste (23 juin 1985 – jusqu’à sa mort en janvier 1997)


Œuvres & publications

Thèse de doctorat : Du contrôle de la justice sur les délibérations du conseil de famille, thèse de doctorat, Droit, Paris, 1949, dact.


Hommages

Lors de son décès le Comité directeur de la NAR écrivait : « C'est aussi l'entendre, à la fois drôle et profond, homme de culture classique, progressiste de tradition - si l'on permet ce paradoxe apparent. Plus particulièrement pour la Nouvelle Action royaliste, il fut celui qui permit les commencements. Il ne craignait pas l'aventure avec son tempérament de fonceur sage. Et alors que certains s'inquiétaient et parfois tournaient le dos à ce jeune mouvement dont les audaces en effrayaient plus d'un, lui n'était pas d'humeur à regarder vers l'arrière. Jusqu'à ses dernières forces, il apporta son soutien au royalisme qui s'affirmait ici, à contre-courant de tous les conformismes. »


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