« Mouvement Royaliste Français » : différence entre les versions

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Issue d’une scission avec la [[Nouvelle action française]] en août 1974, sa section de Grenoble et l’Union royaliste de Touraine dirigé par Pierre Larmande et quelques militants parisiens emmenés par [[Fabrice O’Driscoll]] créent le Comité provisoire de coordination des opérations royalistes ([[COPCOR]]).  
Issue d’une scission avec la [[Nouvelle action française]] en août 1974, sa section de Grenoble et l’Union royaliste de Touraine dirigé par Pierre Larmande et quelques militants parisiens emmenés par [[Fabrice O’Driscoll]] créent le Comité provisoire de coordination des opérations royalistes ([[COPCOR]]).  


Editant un journal, « le Débat Royaliste » ou le « Courrier Royaliste » (entre janvier 1976 et janvier 1982), le COPCOR se rapproche alors de la Fédération des Union royalistes et lance le 21 octobre 1979 le Mouvement royaliste français. La fusion sera de courte durée et le COPCOR restera bientôt le seul membre de ce mouvement à mi-chemin entre la [[Nouvelle action française]] et l’[[Action française]].  Avec l’échec en 1982 du « Courrier royaliste », le MRF se dissout en 1984.  
Editant un journal, le « ''Débat Royaliste'' » ou le « ''Courrier Royaliste'' » (entre janvier 1976 et janvier 1982), le [[COPCOR]] se rapproche alors de la Fédération des Union royalistes et lance le 21 octobre 1979 le Mouvement royaliste français. La fusion sera de courte durée et le [[COPCOR]] restera bientôt le seul membre de ce mouvement à mi-chemin entre la [[Nouvelle action française]] et l’[[Action française]].  Avec l’échec en 1982 du « Courrier royaliste », le MRF se dissout en 1984.  


L’Union royaliste de Touraine continuera son existence mais une « Revue royaliste » survivra jusqu’en 1992 au MRF qui évoluera au fil des années vers un royalisme spirituel, ésotérique  et esthétique sous l’influence de son directeur, l’écrivain Henri Montaigu.  
L’Union royaliste de Touraine continuera son existence mais une « Revue royaliste » survivra jusqu’en 1992 au MRF qui évoluera au fil des années vers un royalisme spirituel, ésotérique  et esthétique sous l’influence de son directeur, l’écrivain Henri Montaigu.  

Dernière version du 10 janvier 2015 à 20:50

Mouvement royaliste français.(MRF)

Issue d’une scission avec la Nouvelle action française en août 1974, sa section de Grenoble et l’Union royaliste de Touraine dirigé par Pierre Larmande et quelques militants parisiens emmenés par Fabrice O’Driscoll créent le Comité provisoire de coordination des opérations royalistes (COPCOR).

Editant un journal, le « Débat Royaliste » ou le « Courrier Royaliste » (entre janvier 1976 et janvier 1982), le COPCOR se rapproche alors de la Fédération des Union royalistes et lance le 21 octobre 1979 le Mouvement royaliste français. La fusion sera de courte durée et le COPCOR restera bientôt le seul membre de ce mouvement à mi-chemin entre la Nouvelle action française et l’Action française. Avec l’échec en 1982 du « Courrier royaliste », le MRF se dissout en 1984.

L’Union royaliste de Touraine continuera son existence mais une « Revue royaliste » survivra jusqu’en 1992 au MRF qui évoluera au fil des années vers un royalisme spirituel, ésotérique et esthétique sous l’influence de son directeur, l’écrivain Henri Montaigu.