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Il quitte la NAF en janvier 1974 et se rapproche de la [[Restauration nationale]] à la fin des années 80 à l'occasion de l'embellie militante de la ''"[[Génération Maurras]]"''.
Il quitte la NAF en janvier 1974 et se rapproche de la [[Restauration nationale]] à la fin des années 80 à l'occasion de l'embellie militante de la ''"[[Génération Maurras]]"''.


'''Jean Toublanc''' a été en 2001 l'un des initiateurs du [[Groupe de liaison royaliste]] (GLR). Il était membre de l'[[Association de la presse monarchique]].
'''Jean Toublanc''' a été en 2001 l'un des initiateurs du [[Groupe de liaison royaliste]] (GLR). Il était membre de l'[[Association de la Presse monarchique et catholique|Association de la presse monarchique]].


Son frère aîné, [[Raymond Toublanc]], également royaliste participa à un réseau de Résistance et mourut en déportation au camp de Neuengamme. Une place de la ville d'Angers porte son nom.
Son frère aîné, [[Raymond Toublanc]], également royaliste participa à un réseau de Résistance et mourut en déportation au camp de Neuengamme. Une place de la ville d'Angers porte son nom.

Version du 10 octobre 2009 à 15:44

Jean Toublanc était un journaliste et militant royaliste français né le 19 novembre 1932 et décédé en octobre 2003.

Il a été secrétaire général des Étudiants de la Restauration nationale sous le pseudonyme de Jean Danjou. Il collaborait à AF Université et à Combat National. Il milita pour l'Algérie française et fut, pour cela, interné administratif au camp de Saint-Maurice-l'Ardoise.

De 1968 à 1971 il anima la fédération parisienne de la Restauration nationale. Il quitte ce mouvement et crée avec d'autres dissidents — dont Georges-Paul Wagner, Yves Lemaignen et Bertrand Renouvin —, la Nouvelle Action française (NAF) en 1971.

Il quitte la NAF en janvier 1974 et se rapproche de la Restauration nationale à la fin des années 80 à l'occasion de l'embellie militante de la "Génération Maurras".

Jean Toublanc a été en 2001 l'un des initiateurs du Groupe de liaison royaliste (GLR). Il était membre de l'Association de la presse monarchique.

Son frère aîné, Raymond Toublanc, également royaliste participa à un réseau de Résistance et mourut en déportation au camp de Neuengamme. Une place de la ville d'Angers porte son nom.