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L''''Alliance royale''', « ''considérant que les querelles dynastiques entravent les royalistes depuis plus d'un siècle, […] se veut unitaire, et ne soutient aucun prince prétendant'' ».
L''''Alliance royale''', « ''considérant que les querelles dynastiques entravent les royalistes depuis plus d'un siècle, […] se veut unitaire, et ne soutient aucun prince prétendant'' ».


[[Image:Logoareuro2.jpg‎|thumb|250px|Le logo de l'Alliance royale]]
[[Image:Logoareuro2.jpg‎|thumb|250px|Les élections europennes 2009]]
Lors des Élections européennes du 7 juin 2009, sous l’égide de la [[Conférence monarchiste internationale]] (dont est membre l'Alliance royale), l’Alliance royale et l’[[Alleanza monarchica]] italienne ont passé un accord en vertu duquel plusieurs membres de l’Alleanza se portèrent candidats sur les listes françaises, l’Alleanza ayant par ailleurs appelé les citoyens français d’origine italienne à voter pour les listes d’Alliance Royale.  
Lors des Élections européennes du 7 juin 2009, sous l’égide de la [[Conférence monarchiste internationale]] (dont est membre l'Alliance royale), l’Alliance royale et l’[[Alleanza monarchica]] italienne ont passé un accord en vertu duquel plusieurs membres de l’Alleanza se portèrent candidats sur les listes françaises, l’Alleanza ayant par ailleurs appelé les citoyens français d’origine italienne à voter pour les listes d’Alliance Royale.  



Version du 8 septembre 2009 à 13:55

Le logo de l'Alliance royale

L’Alliance royale est une formation politique fondée en 2001 par Yves-marie Adeline et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) ayant décidé qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français.


Un parti politique

L'Alliance royale préconise donc un engagement des royalistes sur la scène électorale comme moyen de faire ressurgir la question des institutions dans le débat politique contemporain, et a présenté des candidats aux élections européennes de 2004 et 2009, ainsi qu'à diverses élections cantonales et municipales.

Lors des européennes de 2009 l'Alliance royale a présenté des candidats sur toute la France hors Sud Ouest (Aquitaine, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon) et Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Comme en 2004, les bulletins n'étaient pas imprimés mais proposés au téléchargement sur internet ce qui peut expliquer, en partie, la modestie des résultats.

Circonscription Tête de liste Voix[1] Pourcentage
Nord-ouest Pas de liste 0 0,00%
Ouest Jean-Philippe Chauvin 967 0,04%
Est Sandrine Pico 749 0,03%
Sud-ouest Pas de liste 0 0,00%
Sud-est Dominique Hamel 635 0,02%
Massif Central-Centre Robert de Prévoisin 295 0,02%
Île-de-France Patrick Cosseron de Villenoisy 1 353 0,05%
Outre-mer Grégoire Andriantsalama 175 0,05%
Total 4244 0,025%
Vue d'un atelier lors de l'Université d'été 2009 de l'Alliance royale

En 2007, son président, Yves-Marie Adeline, n'a pu être présent à l'élection présidentielle française faute d'avoir obtenu les 500 parrainages requis (environ 300 annoncés); depuis il a déclaré renoncer à l'action politique pour des raisons personnelles. Il a été remplacé par Pierre Bernard, ancien maire de Montfermeil et ancien député. Le bureau de l'AR, qui l'assiste, est composé de Cyrille Henrys, Robert de Prévoisin, Bruno Castanier et Dominique Hamel.

Le BPO (Bulletin Périodique Officiel) est l’organe de liaison et d’information de l’Alliance royale. Il paraît six fois par ans et est envoyé à tous les adhérents.


Une volonté unitaire

L'Alliance royale, « considérant que les querelles dynastiques entravent les royalistes depuis plus d'un siècle, […] se veut unitaire, et ne soutient aucun prince prétendant ».

Les élections europennes 2009

Lors des Élections européennes du 7 juin 2009, sous l’égide de la Conférence monarchiste internationale (dont est membre l'Alliance royale), l’Alliance royale et l’Alleanza monarchica italienne ont passé un accord en vertu duquel plusieurs membres de l’Alleanza se portèrent candidats sur les listes françaises, l’Alleanza ayant par ailleurs appelé les citoyens français d’origine italienne à voter pour les listes d’Alliance Royale.

Le Groupe d'action royaliste, les Études politiques françaises, le site La Couronne, et la webradio Radio fréquence royaliste ont apporté leur soutien officiel à la campagne e l’Alliance royale. Par ailleurs, au niveau local, plusieurs sections du Comité royaliste d'Action française (CRAF), ou de la Restauration nationale, ont choisi de mettre leurs moyens militants au service des candidats de l'AR. Enfin, selon La Toile (été 2009), le Parti de la France de Carl Lang aurait clairement désigné les listes d’AR comme celles se rapprochant le plus de ses idées dans les régions où le PdF ne se présentait pas...

L'Alliance Royale ne présentera pas de liste lors des prochaines élections régionales mais sera représentée lors des législatives de 2012 avec le double objectif de déposer 50 candidatures minimum et de décrocher ainsi des financements publiques.


Bibliographie

liens externes